AI est Partout ces jours-cimais quand vous voyez un article en ligne de ce qui a historiquement été une source de confiance, il est raisonnable de penser qu’une IA n’était pas impliquée. Dans les grandes salles de rédaction à travers le pays, cependant, cette réalité devient de plus en plus claire.
Bien que toutes les utilisations de l’IA dans la salle de rédaction ne soient pas aussi flagrantes qu’une IA rédigeant un message sur une page vierge (bien que ça arrive aussi,) Il est important de savoir comment la saucisse est faite en ce qui concerne les informations qui façonnent vos visions du monde.
Voici quelques médias qui ont commencé à utiliser ouvertement l’IA dans leurs processus, afin que vous puissiez rester informé d’où les informations dont vous lisez viennent.
Le New York Times
Plus tôt cette semaine, Semafor a publié un article sur les nouveaux outils d’IA que la direction de New York Times encouragerait les membres du personnel à essayer. Tandis que le bras légal de la publication est actuellement impliqué dans un procès contre Openai et Microsoft Pour la violation du droit d’auteur, il semble que les ailes éditoriales et produits du site soient prêtes à adopter l’IA dans la salle de rédaction, au moins par communication par le haut.
Selon la rédaction de Semafor, la direction de NYT fournit maintenant une formation en IA à ses journalistes, lançant un outil d’IA interne appelé «Echo», et approuvant l’utilisation d’outils d’IA externes, y compris l’IA du sommet de Google, quelques produits AMATON AI, et ironiquement Un outil non chatgpt d’Openai.
Tous ces éléments ne seront pas utilisés pour les articles du site Web – le New York Times est plus grand que ce que vous voyez sur sa première page – mais Semafor a dit que les journalistes sont encouragés à «utiliser ces outils d’IA» pour des tâches telles que des révisions de contenu légères ou Proposer des questions à poser lors des entretiens.
«L’IA générative peut aider nos journalistes à découvrir la vérité et à aider plus de gens à comprendre le monde», lit la société Lignes directrices éditoriales sur l’IAqui sont publics sur son site. «Nous considérons la technologie non pas comme une solution magique mais comme un outil puissant.»
À cette fin, il reste encore des garde-corps encore en place. Semafor dit que le NYT a averti le personnel de ne pas utiliser l’IA pour rédiger ou réviser considérablement les articles, et a noté que l’utilisation de l’IA pourrait potentiellement porter atteinte au droit d’auteur ou exposer involontairement des sources.
Pourtant, avec une communication interne suggérant que les écrivains utilisent l’IA pour faire la une des journaux et un projet de copie sociale, cela vaut la peine de garder hallucination À l’esprit, la prochaine fois que vous verrez une histoire de NYT suscitée à épuiser virale sur les réseaux sociaux.
Pour la partie des journalistes, Semafor rapporte que certains restent sceptiques, craignant que l’IA dans la salle de rédaction puisse inspirer la «paresse» et réduire la précision ou la créativité.
Quartz
Tout d’abord, un avertissement. Quartz appartient actuellement à G / O Media, qui possédait également Lifehacker avant sa vente à Ziff Davis en 2023.
Cela dit, les médias g / o sont devenus depuis lors Producteur majeur de l’IA dans la salle de rédactionle quartz de presse commercial étant sa plus grande expérience dans ce domaine.
Faites défiler un peu les règlements de Quartz et vous trouverez des publications attribuées au Salle de rédaction de Quartz Intelligencequi semble abandonner l’une des contraintes adoptées par le New York Times. Ici, le «écrivain» de l’IA génère tranquillement des rapports de gains depuis des mois et a récemment commencé à cracher des blogs plus généraux. Ceux-ci incluent des histoires sur valeur bitcoin potentielle ou Comment supprimer vos comptes de médias sociaux à la propriété métasmais comme vous pouvez vous y attendre, il y a des problèmes à connaître avec chacun.
Au crédit de Quartz, il ne cache pas que ces histoires sont générées par l’AI et que l’IA cite ses sources, mais il ne semble pas qu’il y ait une surveillance humaine pour résoudre les problèmes qui pourraient en résulter.
Par exemple, l’article de quartz sur la façon de supprimer vos comptes de médias sociaux à la recherche de métats semble être une simple régurgitation d’une histoire TechCrunch (qui n’a pas autorisé à résumer, pour ce qu’il vaut), mais avec des instructions claires échangées pour quoi le Écrivain TechCrunch bercé appelle des gestes «vagues» dans la bonne direction. Parlant d’autres histoires écrites par le Quartz AI, le même écrivain a également dit: «Mon éditeur ne me laisserait jamais publier quelque chose de si bâclé».
Avec cela, il est très probable que vous puissiez trouver cette histoire en espérant des conseils utiles, seulement pour laisser déçu et plus confus que lorsque vous êtes venu. Mais les chances de cela ne sont plus élevées que si vous atterrissez sur une autre histoire avec une source moins fiable que TechCrunch.
Comme indiqué par FuturismeThe Intelligence Newsroom a fréquemment cité un site appelé DevDiscourse, qui a lui-même toutes les apparitions d’une ferme de contenu d’IA. Lorsque les robots citent des robots, je dois demander: pourquoi ne pas simplement aller au chatppt et l’inviter vous-même? Même si j’accepte les nouvelles de l’IA comme valables, il n’est pas clair pour moi quels les efforts de G / O ajoutent ici.
G / O gifle un avertissement sur toutes les histoires de quartz générées par l’AI qui indiquent que c’est dans la «première phase d’une nouvelle version expérimentale du reportage», mais avec les efforts d’IA à l’entreprise en cours Retour à 2023on ne sait pas si cela comprendra jamais ce que cette expérience est censée céder.
En attendant, gardez un œil sur toutes les lignes de route en quartz, et si vous reniflez l’IA, envisagez peut-être de donner aux sources, le bot se mélange à la place pour vous. Il semble qu’une fois que vous avez cliqué sur ce titre attrayant, vous jouez essentiellement à un jeu de roulette.
AP
Si le New York Times commence tout juste à plonger ses orteils dans l’IA et que Quartz a fait un boulet de canon complet, alors l’utilisation de l’AP semble être quelque part entre les deux. Sur son site, l’agence déclare fièrement Qu’il utilise l’IA pour la traduction, la transcription, les titres, la recherche et même certains articles automatisés, mais les blogs généraux sont toujours laissés aux mains humaines.
« Notre objectif est de donner aux gens un bon moyen de comprendre comment nous pouvons faire un peu d’expérimentation, mais aussi être en sécurité », a déclaré le vice-président des normes et de l’inclusion d’AP, Amanda Barret, en 2023, lorsque le groupe a d’abord publié ses directives sur l’intelligence artificielle.
Lorsque cela vous affectera très probablement, c’est l’utilisation par le site de Wordsmith, un programme d’IA spécialisé dans la résumé de contenu comme les scores sportifs, les rapports météorologiques et, comme dans le quartz, les revenus. AP utilise une version de ce programme Depuis 2014donc ce n’est pas exactement nouveau, mais il vaut la peine d’être conscient que les histoires sur ces sujets sans auteur spécifique attachées sont probablement venues d’un bot. Mais à part ces histoires, la seule autre utilisation claire d’AP du contenu directement écrit a été une expérience de la déclaration des incidents de sécurité publique dans un journal spécifique du Minnesota.
Sinon, la seule fois où vous verrez probablement le contenu direct de l’IA sur une histoire AP, c’est son histoire résumant le pilote: par exemple, l’IA pourrait mettre un texte de présentation sous les histoires du jour des élections pour dire quels bureaux sont à gagner.
Encore une fois, les titres et les recherches sont encore certes assistés en AI, il est donc important d’être très prudent lorsque quelque chose ne passe pas votre test de reniflement, mais il semble que les humains prennent toujours le premier plan ici, du moins pour l’instant.
Le Washington Post
L’utilisation de l’IA par le Washington Post est unique, en ce qu’elle n’a pas d’impact direct sur le contenu. Il s’agit plutôt d’un moteur de recherche amélioré pour les lecteurs qui vont à la recherche. Le bot, appelé «Demandez au post AI», Prend des questions, crache une brève réponse générée par l’AI, formée sur le contenu du Washington Post, puis répertorie les articles pertinents ci-dessous d’une manière de type Google.
«Les réponses sont générées par AI-ARM à partir des rapports publiés», prévient le bot lorsque vous posez une question. «Veuillez vérifier en consultant les articles fournis.»
Les réponses semblent viser un ton mesuré, s’appuyant sur les citations de sources remarquables en matière d’opinion, et quand j’ai interrogé le bot sur la position évolutive du président Trump sur Tiktok ou l’histoire d’Elon Musk avec Tesla, j’ai obtenu des réponses véridiques, bien que le premier ait été Un paragraphe longtemps tandis que ce dernier n’était qu’une phrase. Je suppose que les détails de vos réponses dépend de la quantité que le papier a couvert un sujet spécifique.
Le Washington Post n’a pas été clair sur les pouvoirs de l’IA Tech de demande au Post IA, mais en général, cela ne vous dérangerait pas à moins que vous ne le recherchiez. Sur la base des avertissements répandus concernant son utilisation, il semble être davantage destiné à démarrer la recherche que comme un remplacement des nouvelles directes.
