Il semble que le groupe Facebook souhaite concurrencer Bijmoji en lançant Avatars, un générateur de « stickers » qui peut être utilisé pour réagir à des « posts » sur le réseau social ou des conversations sur Messenger.
Cette fonctionnalité lancée par le réseau social semble largement inspirée de Bitmoji (Snapchat) ou des Memoji (Apple). Avatars est disponible en Australie, et sera bientôt accessibles aux tous utilisateurs du monde d’ici la fin d’année.
Le réseau social n’arrêter pas d’innover pour attirer les jeunes qui délaissent Facebook, d’où l’idée de lancer ce nouveau mode d’interaction. Pourquoi ? Offrir aux internautes de nouvelles opportunités de réaction à des commentaires sur des « posts » Facebook ou des conversations Messenger. Une fois l’utilisateur crée un Avatar, ce dernier apparaisse aux côtés des « réactions » habituelles (like, dislike, cœur, rire, etc…) sur l’interface du média social.
Avatars offre aux utilisateurs une multitude de possibilités de personnalisation. Le géant américain a voulu offrir à ses utilisateurs plusieurs choix. « Ils sont un peu plus réalistes (que ceux de Snapchat ou d’Apple, ndlr) pour qu’ils puissent être vos avatars personnels ; sans qu’ils en deviennent des caricatures », indique Jimmy Raimo, responsable de la communication de Facebook Avatars à Tech Crunch.
Comment peut-on créer un Facebook Avatar ?
Comme déjà précisé en haut, seuls les utilisateurs australiens peuvent accéder à ce nouveau service. Mais la démarche à suivre serait, sans doute, la même dans les quatre coins du monde.
En lançant Messenger, ou en essayant de commenter un post Facebook, il suffit de cliquer sur le bouton faisant apparaître les « emojis », afin de créer votre Avatar sur une interface dédiée.
Pour commencer, l’utilisateur aura un personnage neutre qu’il peut personnaliser à l’aide de 18 traits primaires, tels que la forme du visage, la couleur des cheveux, la tenus, etc.
Pour rappel, les Avatars Facebook ne sont pas monétisés (pour le moment). Il se peut que les marques proposent des vêtements griffés de leur logo aux utilisateurs contre une poignée d’euros. Une idée qui pourrait intéresser le géant du web.