Vous avez regardé Demon Slayer (Kimetsu no Yaiba) et depuis, difficile de retrouver une série qui procure les mêmes sensations ? C’est un sentiment partagé. L’intensité des scènes, la qualité de l’animation et le lien fort entre Tanjiro et sa sœur ont marqué beaucoup de spectateurs.
Alors une fois la dernière scène passée, on a souvent envie de revivre quelque chose d’aussi fort. Bonne nouvelle : d’autres anime méritent d’être découverts. Voici une sélection de 10 titres qui rappellent cette même énergie, avec des histoires puissantes, des personnages touchants et un rythme qui tient jusqu’au bout.
Table des matières
Hunter x Hunter : un shōnen culte à ne pas manquer

Hunter x Hunter fait partie de ces séries qu’on n’oublie pas. Tiré du manga de Yoshihiro Togashi, il suit le parcours de Gon Freecss, un garçon animé par un objectif très personnel : retrouver son père. Pour y parvenir, il décide de devenir Hunter, un statut à part, réservé à ceux qui osent aller là où peu s’aventurent, que ce soit pour explorer des terres inconnues ou poursuivre les pires criminels. Mais rien ne lui sera facilité. À chaque étape, Gon devra affronter des épreuves exigeantes, des duels parfois rudes, et des rencontres qui le transformeront.
Ce qui rend Hunter x Hunter aussi fort, c’est cette capacité à mêler émotions, stratégie, et évolution intérieure. On ne parle pas juste d’un héros qui veut devenir plus fort. On suit un enfant qui grandit, qui doute, qui apprend à faire face. Autour de lui, des personnages aussi profonds que surprenants viennent enrichir le récit. Chacun a ses failles, ses raisons d’avancer, ses contradictions.
Il y a aussi ce système de pouvoir, le Nen, loin des classiques du genre. C’est une mécanique riche, intelligente, qui pousse à réfléchir autant qu’à se dépasser. L’écriture ne tombe jamais dans la facilité. Les arcs s’enchaînent avec un ton bien à eux : certains plongent dans la tension pure, d’autres explorent des zones plus sombres, parfois plus calmes, mais toujours intenses.
Que ce soit l’examen Hunter, York Shin, ou les épisodes avec les fourmis, chaque moment a quelque chose à dire. On ne regarde pas juste pour l’action. On reste pour ce que l’histoire nous fait ressentir.
Et si on parle d’image et de son : l’animation du remake de 2011 est fluide, soignée, avec des scènes de combat très bien pensées. La musique accompagne sans en faire trop, juste ce qu’il faut pour se laisser porter.
Hunter x Hunter, c’est une série qui touche autant les fans d’aventure que ceux qui aiment les récits plus psychologiques. C’est un animé qu’on n’oublie pas, parce qu’il ne se contente pas de raconter une histoire. Il fait vivre une progression, une tension, une émotion.
Black Clover : la montée en puissance d’un héros sans magie

Black Clover, c’est l’histoire d’un garçon qui refuse d’abandonner. Là où la magie fait partie du quotidien, Asta naît sans le moindre pouvoir. Et pourtant, il garde en tête une idée bien ancrée : devenir le Roi Sorcier, la figure la plus puissante du royaume. Rien ne le prédestine à ce chemin. Il part de zéro. Mais il avance, coûte que coûte.
Ce qu’on retient très vite, c’est cette énergie constante. Asta ne se laisse jamais écraser par le regard des autres. Sa volonté, presque brute, lui permet de franchir des étapes qu’on pensait inaccessibles. Un jour, il reçoit un grimoire à cinq feuilles, un objet rare et étrange qui lui donne accès à une magie très particulière : une force capable de contrer les sorts des autres. Une anti-magie, née pour bousculer les codes établis.
À ses côtés, il y a Yuno, son rival depuis toujours. Lui, c’est l’opposé : calme, talentueux, sûr de lui. Les deux avancent sur le même chemin, chacun avec ses armes. Et puis, il y a la brigade du Taureau Noir, un groupe aussi imprévisible qu’attachant, dans lequel Asta va trouver un véritable terrain d’apprentissage. Ensemble, ils affrontent des dangers grandissants, défendent leur royaume, et vivent des batailles où chaque décision compte.
Black Clover frappe par son rythme. Les épisodes s’enchaînent avec intensité. Les combats sont nombreux, les défis aussi. Et derrière chaque cri, chaque coup, il y a toujours cette même idée : même sans magie, on peut avancer.
Ce n’est pas un récit qui cherche la perfection. C’est une histoire pleine de tension, de doutes, d’amitiés fortes. Asta tombe, Asta crie, Asta repart. Et nous, on suit. Parce qu’on croit à ce qu’il défend. Parce que parfois, voir quelqu’un qui refuse de renoncer, ça fait du bien.
My Hero Academia : quand les super-héros rencontrent le shōnen

My Hero Academia (ou Boku no Hero Academia) fait partie de ces animés qui marquent toute une génération. Inspiré du manga de Kōhei Horikoshi, il raconte l’histoire d’Izuku Midoriya, un garçon ordinaire dans un monde où presque tout le monde possède un super-pouvoir, un « Alter ». Sauf lui. Il grandit sans rien, mais garde un rêve en tête : devenir un héros, un vrai.
Un jour, sa vie prend un tournant inattendu. Il croise All Might, le héros numéro 1, respecté de tous. Cette rencontre change tout. All Might reconnaît la force de cœur d’Izuku et lui confie un pouvoir unique, transmis de génération en génération : le One For All. À partir de là, tout s’accélère. Izuku entre à U.A., une école d’élite où il va devoir apprendre à se battre, à se relever, à croire en lui.
Mais ce n’est pas juste une histoire de super-pouvoirs. C’est aussi une aventure humaine. Chaque élève de la classe 1-A a ses doutes, ses limites, ses envies. Certains cherchent leur place, d’autres leur courage. Et dans tout ça, Izuku avance, entouré d’amis, mais aussi de dangers qui ne cessent de grandir.
Ce qui accroche, c’est l’équilibre entre l’intensité des combats et la fragilité des personnages. Il y a des moments forts, des silences qui en disent long, des victoires qui coûtent cher. Et puis, il y a ces grandes questions qu’on se pose tous un jour : comment faire le bon choix quand tout vacille ? Jusqu’où aller pour rester fidèle à ce qu’on croit juste ?
My Hero Academia ne fait pas de détour. Il montre la peur, la pression, les blessures qu’on ne voit pas. Mais il montre aussi la persévérance, l’espoir, la solidarité. C’est ce mélange qui touche. Qui fait qu’on s’attache. Et qu’on continue à suivre Izuku, pas à pas, dans sa quête.
Fullmetal Alchemist : Brotherhood, un chef-d’œuvre de l’animation japonaise

Fullmetal Alchemist: Brotherhood fait partie de ces animés qui marquent durablement ceux qui les découvrent. Adaptée avec soin du manga de Hiromu Arakawa, cette série raconte l’histoire forte des frères Edward et Alphonse Elric, deux adolescents profondément marqués par un drame. En voulant ramener leur mère disparue à l’aide de l’alchimie, ils franchissent une limite interdite : la transmutation humaine. Ce choix bouleverse leur vie. Edward y laisse un bras et une jambe, tandis qu’Alphonse perd tout son corps, son âme scellée dans une armure vide.
Portés par l’espoir de réparer leurs erreurs, ils partent à la recherche d’un artefact légendaire : la Pierre Philosophale. Ce chemin sera semé d’embûches. Derrière cette pierre se cachent des secrets bien plus lourds, entre expériences interdites, manigances politiques et créatures aussi dangereuses qu’énigmatiques.
Ce qui frappe dans Brotherhood, c’est la densité du récit. Chaque personnage a ses failles, ses convictions, ses dilemmes. Les liens familiaux, la soif de vérité, le poids de la culpabilité… autant de thèmes abordés avec sincérité. L’alchimie n’est pas ici un simple outil magique, mais un miroir de choix humains souvent douloureux.
L’histoire avance sans temps mort. Chaque épisode apporte une révélation, une montée de tension, un moment fort. L’équilibre entre l’action et l’émotion est maîtrisé. On passe d’un combat haletant à une scène plus intime sans que le rythme faiblisse.
La qualité de l’animation, signée Studio Bones, renforce cette immersion. Les décors, les musiques, les expressions… tout sonne juste. FMA: Brotherhood ne cherche pas à briller pour impressionner, mais pour faire ressentir. Et c’est ce qui en fait une série à part, sincère et marquante.
Qu’on découvre l’animation japonaise ou qu’on la connaisse déjà bien, cette aventure-là touche toujours quelque chose. Une quête de justice, d’amour fraternel, et de rédemption, portée avec force du premier au dernier épisode.
Inuyasha : un voyage fantastique entre deux époques

Inuyasha fait partie de ces séries qui ont laissé un souvenir fort chez celles et ceux qui ont grandi avec les animés des années 2000. Tiré du manga de Rumiko Takahashi, ce récit mêle aventure, sentiments et récits ancrés dans les croyances japonaises. Tout commence quand Kagome, une lycéenne d’aujourd’hui, tombe dans un puits ancien du sanctuaire familial. Elle se retrouve projetée en plein Japon féodal, un monde peuplé d’esprits, de démons et de légendes oubliées. Là-bas, elle croise Inuyasha, un demi-démon enchaîné, au caractère bien trempé.
Peu à peu, Kagome comprend qu’un lien profond l’unit à ce monde ancien : elle porte en elle un joyau spirituel puissant, autrefois protégé par une prêtresse dont elle semble être la réincarnation. Mais un incident brise ce joyau, dont les éclats se dispersent aux quatre coins de cette époque troublée. Dès lors, une quête s’engage : retrouver ces fragments avant qu’ils ne tombent entre de mauvaises mains.
Inuyasha et Kagome, malgré leurs différences, se rapprochent et apprennent à avancer ensemble. Sur leur route, ils croisent Miroku, un moine imprévisible, Sango, une guerrière au lourd passé, et le jeune Shippo, qui apporte une touche plus légère à leurs péripéties.
L’atmosphère de la série est singulière : entre traditions anciennes, affrontements surnaturels et sentiments enfouis. L’histoire ne se limite pas aux batailles. Elle creuse les liens entre les personnages, explore les souvenirs, les regrets, les doutes. La relation entre Inuyasha, Kagome et Kikyo, la prêtresse disparue, ajoute une tension constante et bouleverse souvent les repères.
Inuyasha, c’est aussi un rythme qui prend son temps. Avec ses nombreux épisodes, ses ennemis tenaces (comme Naraku, qui laisse rarement de répit), et ses moments plus calmes, on découvre un monde riche et complexe, où chaque décision a un poids.
Cet animé n’a pas seulement marqué par ses combats ou ses dessins : il a touché par son équilibre entre aventures et émotions. Un voyage dans un Japon féodal peuplé d’ombres, de souvenirs et d’espoir.
Hell’s Paradise : entre enfer, rédemption et sabres tranchants

Hell’s Paradise: Jigokuraku s’est rapidement imposé comme une série marquante parmi les nouvelles sorties animées japonaises. Adapté du manga de Yuji Kaku et produit par MAPPA, ce récit plonge dans un monde violent, troublant, et profondément humain. L’histoire suit Gabimaru, un ninja redouté, surnommé Gabimaru le Vide, promis à l’exécution. Il prétend n’avoir plus rien à perdre, mais résiste malgré tout aux supplices. Au fond, une seule chose le pousse encore : retrouver celle qu’il aime.
Pour espérer un jour la revoir, une mission lui est proposée. Une sorte d’épreuve sans retour, où la survie tient à peu de choses. Direction Shinsenkyo, une île isolée, couverte de mystères, que l’on dit liée à l’élixir de vie éternelle.
Il est envoyé avec d’autres condamnés, chacun accompagné d’un bourreau, comme Sagiri, issue du clan Yamada Asaemon. Ensemble, ils vont devoir faire face à une nature complètement déroutante et à d’autres criminels prêts à tout.
Ce qui attend sur cette île dépasse l’imaginable. Des plantes qui tuent, des bêtes sorties d’un cauchemar, et une tension constante. Chaque personnage transporte une histoire, souvent marquée par la douleur, la perte ou le désir d’une seconde chance.
Hell’s Paradise ne se contente pas de scènes percutantes. Loin de là. La série interroge sur ce qu’il reste d’humain lorsqu’on a tout perdu. Les questions de survie, de pardon et de raison de vivre traversent les épisodes, entre deux confrontations sanglantes.
Visuellement, chaque plan a son style. L’action frappe fort, mais c’est surtout l’équilibre entre l’horreur, l’émotion et la réflexion qui fait que cette série reste longtemps en mémoire. Gabimaru, Sagiri, et tous les autres personnages ne sont jamais figés : ils doutent, changent, se relèvent.
Pour celles et ceux qui aiment les récits sombres, intenses et portés par des personnages à la croisée des chemins, Hell’s Paradise mérite sa place dans les séries à découvrir sans attendre.
Jujutsu Kaisen : la nouvelle référence de l’action surnaturelle

Jujutsu Kaisen fait partie des séries les plus suivies de ces dernières années. Adapté du manga de Gege Akutami et animé par MAPPA, il nous entraîne dans une réalité où des créatures nées des émotions les plus sombres mettent en danger les humains. Pour faire face à ces menaces, certains maîtrisent un art ancestral : les techniques jujutsu.
L’histoire suit Yuji Itadori, un lycéen sans histoires, qui se retrouve malgré lui impliqué dans une affaire qui le dépasse. En avalant un objet maudit pour protéger ses amis, il devient l’hôte d’un être redouté : Ryomen Sukuna. Ce geste bouleverse son quotidien et l’amène à intégrer une école spécialisée, où il va devoir apprendre à vivre avec cette présence en lui.
Jujutsu Kaisen, ce n’est pas seulement des combats impressionnants. C’est aussi une série portée par des personnages forts, souvent en conflit avec eux-mêmes, qui avancent malgré les épreuves. Yuji, Megumi, Nobara et Gojo forment un groupe marquant, entre doutes, force intérieure et décisions difficiles.
Les affrontements sont intenses, mais toujours lisibles, avec une animation fluide qui donne vie aux techniques les plus redoutables. On ressent la tension, la peur, mais aussi l’espoir dans chaque scène. L’histoire aborde aussi des thèmes plus profonds, comme le deuil, le sens du sacrifice, ou ce qu’il en coûte de protéger les autres.
En suivant ce chemin, Jujutsu Kaisen s’est fait une place solide parmi les shōnens de référence, avec sa propre manière de raconter les luttes entre ombre et lumière. Une série à découvrir si l’on aime les histoires où chaque choix compte, où l’on avance avec ses failles, et où la force ne vient pas toujours de la puissance brute.
Bleach : un voyage entre deux mondes et des combats dantesques

Bleach a marqué toute une génération de fans dès les années 2000, aux côtés de Naruto ou One Piece. Adapté du manga de Tite Kubo, il nous embarque dans le quotidien d’Ichigo Kurosaki, un adolescent qui a toujours eu cette capacité étrange : voir les esprits. Mais un soir, tout change.
Il croise la route de Rukia Kuchiki, une guerrière venue d’un autre monde. Un affrontement imprévu les oblige à échanger leurs rôles. Et voilà Ichigo, du jour au lendemain, propulsé dans un monde qu’il ne connaissait pas, celui des Shinigamis.
Ce point de départ ouvre la voie à une aventure dense. On y découvre des lieux mystérieux comme la Soul Society ou le Hueco Mundo, mais aussi une galerie de personnages impressionnants, chacun avec ses capacités propres. Les combats, souvent centrés sur des épées aux pouvoirs bien particuliers, donnent lieu à des duels intenses. Et quand ces armes libèrent leur forme ultime, le rythme s’emballe, les enjeux montent d’un cran.
Mais Bleach, ce n’est pas seulement de la tension et de l’action. C’est aussi une série qui parle de solitude, de devoir, et du poids que l’on porte parfois en silence. Les liens entre les personnages, les décisions difficiles, les blessures qui ne se voient pas toujours… tout cela donne au récit une profondeur qui touche.
Avec une bande-son marquante, des visuels forts et une narration qui prend son temps pour poser chaque arc, l’œuvre a su s’imposer durablement. Et aujourd’hui encore, l’arc “Thousand-Year Blood War” attire l’attention, en prolongeant l’histoire pour les anciens fans et les nouveaux venus.
Dororo : une quête sanglante pour retrouver son humanité

Dororo, c’est une claque. Un de ces animés qui te laissent sonné après chaque épisode. Adapté du manga culte d’Osamu Tezuka, et revisité en 2019 par MAPPA et Tezuka Productions, ce récit plonge dans un Japon féodal dur, sauvage, et habité par des démons… autant surnaturels qu’humains.
Tout commence avec Hyakkimaru, un nouveau-né privé de tout : yeux, bras, jambes, peau, voix… Son père, un seigneur en quête de puissance, a fait un pacte avec douze démons. Le prix ? Le corps de son fils. Abandonné à la naissance, Hyakkimaru est recueilli par un médecin marginal qui lui façonne un corps artificiel. Des années plus tard, le garçon devenu guerrier se lance dans une quête déchirante : retrouver chaque partie de lui-même en terrassant les démons qui les ont pris.
Sur son chemin, il croise Dororo, une orpheline vive, rusée, au franc-parler rafraîchissant. Leur duo fonctionne immédiatement. Ils avancent ensemble dans un pays ravagé par la guerre, les esprits, et la misère. Et derrière chaque bataille, une question profonde : qu’est-ce qu’être humain quand on a tout perdu ? Jusqu’où aller pour se reconstruire ?
Dororo, c’est brutal mais sensible, dur mais lumineux par moments. L’animation transporte, les scènes marquantes s’enchaînent, et la musique touche là où ça fait mal. On y parle de vengeance, de survie, de rédemption… mais aussi d’espoir, d’enfance volée, et de liens qui se tissent malgré la douleur.
C’est un voyage qui remue. Un animé à voir quand on cherche plus qu’une simple aventure : un vrai récit d’âme.
Blue Exorcist : entre enfer et école d’exorcisme, un shōnen aux flammes démoniaques

Blue Exorcist, c’est l’histoire d’un ado en colère contre le monde… et contre lui-même. Rin Okumura, un garçon au tempérament fougueux, découvre un jour un secret qui fait tout basculer : il serait le fils de Satan. Rien que ça. Et ce n’est pas une métaphore, c’est littéralement ce que son sang lui révèle.
Alors quand le chaos s’invite chez lui et que le monde démoniaque veut l’arracher à sa vie, Rin prend une décision radicale : il ne fuira pas. Il combattra. Pas pour défendre une image ou une mission divine, mais pour tracer son propre chemin. Celui qu’il choisit : devenir exorciste. Avec son épée enflammée scellée, ses pouvoirs difficiles à contenir, et un frère jumeau qui en sait beaucoup plus qu’il ne le dit, Rin entre à l’Académie de la Croix-Vraie, un centre de formation pas comme les autres.
Ce qui fait la force de Blue Exorcist, c’est cette tension permanente entre la lumière et l’ombre, entre ce qu’on porte en soi et ce qu’on décide d’en faire. Les combats sont intenses, souvent impressionnants, mais ce sont surtout les liens entre les personnages qui donnent du poids à l’histoire. Entre jalousie, loyauté, secrets, rivalités et tendresse maladroite, chaque relation compte.
Et puis, il y a cette atmosphère particulière, un peu froide, un peu mystique, portée par une animation très travaillée et une bande-son qui colle parfaitement aux scènes clés. On se laisse facilement prendre par ce mélange de mythe, de surnaturel, et de vie étudiante pas franchement ordinaire.
Blue Exorcist, c’est un récit de feu et de doutes. Une série où les démons ne sont pas toujours là où on les attend, et où affronter ses origines demande souvent plus de courage que manier une épée.
Conclusion : quels animés voir après Demon Slayer ?
Si tu as été emporté par les combats de Demon Slayer, son côté sombre et les personnages touchants qui le composent, bonne nouvelle : plein d’autres animés savent provoquer les mêmes frissons.Voici ceux que nous vous recommandons en priorité :
- Hunter x Hunter, pour son monde riche, ses personnages travaillés et un système de pouvoir aussi stratégique que passionnant.
- Black Clover, si vous aimez les héros tenaces et les batailles magiques.
- My Hero Academia, pour son énergie débordante, ses héros en devenir et ses combats intenses qui font vibrer.
- Fullmetal Alchemist: Brotherhood, une aventure alchimique inoubliable mêlant drame, philosophie et action.
- Inuyasha, pour un voyage entre romance, folklore japonais et combats surnaturels.
- Hell’s Paradise, un animé brutal et profond sur la survie et la rédemption.
- Jujutsu Kaisen, pour son rythme effréné, ses exorcistes stylés et ses malédictions terrifiantes.
- Bleach, pour son récit dense entre esprits tourmentés, duels intenses et pouvoirs mystiques à découvrir au fil des arcs.
- Dororo, une fable sombre et poétique sur la quête d’identité.
- Blue Exorcist, pour un mélange explosif de feu démoniaque, école d’exorcistes et lien familial.
Dans tout ça, chacun de ces animés a son petit truc à lui. Certains vous prennent aux tripes, d’autres font sourire, réfléchir, ou juste vibrer devant l’écran. Selon ce que vous traversez ou ce que vous aimez vivre à travers une histoire, y en a forcément un qui va vous parler et vous rester en tête un bon moment.