Yo les geeks ! Vous avez sûrement entendu parler de ChatGPT, cette IA qui fait trembler le monde de la tech depuis un an. Eh bien, figure-toi que son créateur, OpenAI, est en train de faire les poches de ses investisseurs pour continuer à développer des IA toujours plus puissantes. Comme quoi, même les robots ont besoin de thunes pour grandir ! Allez, on plonge dans les coulisses financières de cette boîte qui veut nous remplacer par des algorithmes.
La course folle d’OpenAI vers l’IA suprême
OpenAI, c’est un peu comme moi quand je joue à un RPG : toujours en quête du prochain niveau. Sauf qu’au lieu de farmer des monstres, ils développent des IA de ouf. Après le carton planétaire de ChatGPT, ils nous ont sorti GPT-4, et maintenant ils bossent sur GPT-5. Paraît que cette dernière sera aussi intelligente qu’un doctorant. Perso, j’attends de voir si elle saura commander une pizza et coder un bot Discord en même temps !
Mais ce délire d’innovation a un coût, et pas des moindres. Développer ces technologies, c’est comme essayer de faire tourner Cyberpunk 2077 en 8K sur un grille-pain : ça consomme une énergie de dingue et ça coûte un bras. Microsoft a déjà lâché des millions pour un supercalculateur dédié à ChatGPT, mais visiblement, c’est pas suffisant.
OpenAI est comme un joueur de gatcha qui ne peut pas s’arrêter d’acheter des loot boxes. Ils ont sorti plein de nouveaux modèles de langage comme GPT-4o et o3. C’est cool, mais ça engloutit du pognon plus vite qu’un otaku dans un magasin de figurines limited edition.
Le nerf de la guerre : le financement des IA
Le conseil d’administration d’OpenAI balance cash : « Les centaines de milliards de dollars que les grandes entreprises investissent actuellement dans le développement de l’IA montrent ce qu’il faudra vraiment pour qu’OpenAI poursuive sa mission ». Traduction : on a besoin d’encore plus de blé, les gars !
Et comme si ça suffisait pas, Sam Altman et sa bande nous sortent : « Nous avons une fois de plus besoin de lever plus de capitaux que nous ne l’avions imaginé ». C’est un peu comme si j’annonçais à mes parents que j’ai encore besoin d’argent pour m’acheter la dernière console. Sauf qu’eux, c’est pour créer des IA qui pourraient potentiellement dominer le monde. Pas de pression, hein !
OpenAI : la startup qui voulait changer le monde (et son compte en banque)
Alors que j’étais occupé à réfléchir sur l’impact de ChatGPT un an après son lancement, OpenAI se prenait la tête sur son modèle économique. Apparemment, leur statut actuel ne leur permet pas de :
- Prendre en compte les intérêts des investisseurs
- Laisser l’organisation à but non lucratif contrôler totalement l’organisation à but lucratif
- Gagner assez d’argent pour s’offrir tous les serveurs du monde
C’est marrant, ça me rappelle quand j’essaie de justifier mes dépenses en jeux vidéo : « Mais maman, c’est un investissement pour mon futur ! »
Cette situation fait écho au procès intenté par Elon Musk contre OpenAI. Le milliardaire, qui est aussi cofondateur de l’entreprise, les accuse d’abandonner leur statut de société à but non lucratif. C’est un peu comme si ton pote végétarien se mettait soudainement à bouffer du bacon en cachette. D’ailleurs, Musk n’est pas seul dans ce combat. Il a été rejoint par celui que certains appellent le « parrain de l’IA ». Je me demande s’ils ont un groupe WhatsApp pour coordonner leurs attaques…
L’avenir incertain d’OpenAI et de l’IA
Tout ça soulève pas mal de questions sur l’avenir d’OpenAI et de l’IA en général. Est-ce que l’entreprise va réussir à trouver les fonds nécessaires pour continuer son développement ? Vont-ils devoir sacrifier certains de leurs principes pour y arriver ? Et surtout, est-ce que GPT-5 sera capable de m’aider à battre le boss final de Elden Ring ?
Une chose est sûre, le monde de l’IA est en pleine ébullition. Pendant qu’OpenAI cherche des sous, Elon Musk lance Grok, son IA conversationnelle gratuite sur X, histoire de mettre un peu plus la pression. C’est comme une partie de Street Fighter, mais avec des IA au lieu des personnages. FIGHT !
En attendant de voir comment tout ça va se terminer, je vais continuer à utiliser ChatGPT pour m’aider à écrire mes fanfictions de Naruto. Qui sait, peut-être qu’un jour, ce sera une IA qui écrira cet article à ma place. En espérant qu’elle saura aussi bien que moi faire des blagues pourries sur les geeks et la tech !